UBx est l’institution chef de file du projet Decide TB. Au sein du centre de recherche Population Health de l’UBx, l’équipe Global Health in the Global South (GHiGS) travaille sur la prévention et le traitement des maladies infectieuses (VIH, tuberculose, hépatite virale, Ebola, Lassa, paludisme, résistance bactérienne), la santé maternelle et infantile, et les maladies non transmissibles, notamment la malnutrition en Afrique.

GHiGS aims at:
i) providing clinical and epidemiological data at individual and population-level, and conducting public health, community-based, as well as social sciences research;
ii) designing and evaluating innovative interventions to improve health outcomes in resource-constrained settings.

Il supervise actuellement 14 doctorants, dont 7 sont africains. Le GHiGS mène des recherches de haute qualité dans près de 30 pays, notamment des essais cliniques, des cohortes diagnostiques, des recherches opérationnelles et des recherches sur la mise en œuvre.

De grandes études dans le domaine des maladies infectieuses (Temprano, TasP, TB-Speed) ou de la malnutrition (Optima) ont eu un impact important au niveau international et ont contribué à la politique de l’OMS. Le GHiGS (Olivier Marcy, directeur de l’équipe) a coordonné l’étude TB-Speed.

NTP MZ is the entity of the Ministry of Health that coordinates tuberculosis control actions in the country.
TB services are integrated into the National Health Service and System and decentralized throughout the network up to community level. About 27% have TB diagnostic units distributed at the primary, secondary and tertiary levels, 8% have chest X-ray equipment and 70% of health units manage and monitor TB patients.

NTP Mozambique activities include the following components:
i) Community-engagement;
ii) TB/HIV Collaborative Activities that are supported by a technical group composed of different partners (e.g. CDC, Ariel Glaser, EGPAF, USAID);
iii) Care and Treatment for child TB, sensitive and Multi-Drug Resistant TB, which includes implementation research and pilot studies on short regimen for MDR-TB (B-Plus) and 3HP latent TB treatment and responsibility for developing guidelines for the clinical management of TB (13 manuals developed in 15 years). This receives support from a technical group (HIV-Program, MNCH, Ariel Glaser Foundation, USAID, CDC, UCLA);
iv) Management of Medicines and Laboratory Supplies;
v) Monitoring and Evaluation, Research and Innovation: which includes development of patient-based electronic records.

L’INS est un organisme public chargé de la gestion, de la réglementation et de la supervision des activités liées à la production de données scientifiques dans le domaine de la santé au Mozambique. Il joue un rôle important dans la résolution du problème de la tuberculose dans le pays.
Il a été créé, entre autres, pour promouvoir le développement de la recherche dans le domaine de la santé et mener des recherches cliniques, biomédicales, pharmacologiques, épidémiologiques, opérationnelles, socio-anthropologiques et sur les systèmes de santé, en fonction des priorités nationales.
L’INS est actuellement dirigé par un conseil général composé du directeur général, du directeur général adjoint et de quatre directeurs nationaux chargés respectivement de la recherche en matière de santé et de bien-être, des laboratoires de santé publique, de la formation et de la communication dans le domaine de la santé, ainsi que des enquêtes et de l’observation sanitaire.
Le Centre de recherche et de formation en santé de Polana Caniço (CISPOC) est une branche de l’Institut national de la santé situé dans la ville de Maputo qui mène des programmes de recherche clinique dans le domaine de la tuberculose.
L’équipe INS/CISPOC dirigée par le Dr Celso Khosa a contribué aux études TB-Speed Decentralization, HIV et Pneumonia, ainsi qu’à l’étude RaPaed-TB.

Le programme PAC-CI est un centre de recherche ayant le statut d’« organisation non gouvernementale (ONG) », créé en 1996 à la suite d’une coopération entre la Côte d’Ivoire et la France. Ce centre de recherche est régi par un accord entre ces deux pays avec :

– Pour la Côte d’Ivoire, le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, et le ministère de l’Économie et des Finances
– Pour la France, l’Agence nationale de recherche sur le VIH/sida et les hépatites virales (ANRS-REACTING), l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, l’université de Bordeaux et le ministère des Affaires étrangères.

Le programme PAC-CI est un chef de file dans le domaine de la recherche en santé, avec des projets de recherche sur l’épidémie de VIH/sida, l’hépatite virale, la santé maternelle et infantile, la tuberculose et, plus récemment, les maladies infectieuses à potentiel endémique. Notre mission est la suivante : mener des activités de recherche en santé dont les résultats seront utiles aux populations infectées et touchées ; promouvoir la formation des professionnels de la santé à la recherche médicale.
Le programme PAC-CI adopte une approche multidisciplinaire, s’appuyant sur les sciences cliniques, l’épidémiologie et la santé publique, la biologie, la démographie, la sociologie, l’anthropologie, l’économie appliquée et la modélisation statistique pour comprendre les problèmes de santé des populations et proposer des solutions. La formation académique et technique est l’un des principaux axes de notre organisation, qui s’adresse à la fois aux étudiants en master et en doctorat et au personnel de soutien à la recherche.

Le Programme national de lutte contre la tuberculose (PNLT) est l’organisme gouvernemental chargé de coordonner la lutte contre la tuberculose en Côte d’Ivoire. Créé par décret en 2001, il a pour objectif de prévenir, diagnostiquer et traiter la tuberculose à l’échelle nationale, avec pour objectif à long terme de l’éliminer en tant que menace pour la santé publique. Le programme fonctionne selon un système à trois niveaux (central, régional et périphérique) qui garantit la mise en œuvre des activités dans tout le pays.

Ses principaux composants sont les suivants :
– suivi et évaluation,
– services de laboratoire,
– soins aux patients et renforcement des capacités,
– achats et approvisionnement en médicaments,
– communication et engagement communautaire,
– prise en charge conjointe de la tuberculose et du VIH,
– prise en charge de la tuberculose pharmacorésistante,
– affaires administratives et financières.

Au niveau central, le PNLT définit les orientations stratégiques, coordonne les partenaires nationaux et internationaux et guide la politique nationale. Les équipes régionales et locales assurent la supervision des unités de lutte contre la tuberculose, la prise en charge des cas et le dépistage et le suivi au niveau communautaire. Le PNLT mène également des campagnes de sensibilisation et des initiatives visant à faciliter l’accès aux soins afin de réduire la morbidité, la mortalité et les abandons de traitement liés à la tuberculose.

L’UNZA est co-responsable du programme Decide-TB. L’UNZA est une université publique créée par une loi du Parlement zambien en 1964.
Il s’agit de la plus grande université et du principal institut de recherche de Zambie. La faculté de médecine est située sur un campus séparé, sur le site de l’hôpital universitaire (UTH).
L’établissement propose d’autres programmes de premier cycle et de troisième cycle en pharmacie, sciences infirmières, sciences biomédicales, physiothérapie, santé environnementale et santé publique. L’UNZA/UTH a une longue histoire de recherche locale et collaborative qui a influencé les politiques et les pratiques et a grandement contribué à la qualité des services cliniques.
L’établissement est un centre de recherche sur la tuberculose et le VIH chez les enfants et a participé à plusieurs projets de recherche collaboratifs multicentriques.
Cette équipe de recherche a déjà mené des recherches importantes sur la tuberculose et le VIH chez les enfants, notamment les essais SHINE et CHAPAS 1, 2 et 3, et plus récemment le projet de recherche multicomté TB-Speed.
L’équipe a reçu le prix 2018 de l’EDCTP récompensant les équipes de recherche exceptionnelles, décerné au consortium CHAPAS.

L’Université de Stellenbosch est l’une des trois universités les mieux classées d’Afrique et accueille environ 29 000 étudiants provenant de 100 pays différents.
L’Université de Stellenbosch est un établissement d’enseignement supérieur de premier plan en Afrique, axé sur la recherche. Il est reconnu comme l’une des trois meilleures universités de recherche d’Afrique du Sud, avec l’une des proportions les plus élevées d’étudiants de troisième cycle du pays et le plus grand nombre de publications de recherche en Afrique du Sud.
La recherche à l’Université de Stellenbosch est guidée par les notions d’excellence et de pertinence simultanées, nourrie par la diversité des personnes et des idées.
L’Université de Stellenbosch est reconnue internationalement comme un leader mondial dans le domaine de la recherche sur la tuberculose (comme le confirment, entre autres, les analyses bibliométriques mondiales de co-citations réalisées à l’aide de l’outil Elsevier Scopus SciVal Spotlight, qui identifient ce domaine comme une compétence unique de l’Université de Stellenbosch).
Le domaine de recherche qui compte le plus grand nombre de publications impliquant des chercheurs de l’Université de Stellenbosch est celui de la tuberculose, domaine dans lequel l’Université de Stellenbosch est la première université africaine.
Le centre Desmond Tutu TB (DTTC) est basé au sein de l’Université de Stellenbosch et jouit d’une renommée internationale pour son excellence dans le domaine de la recherche sur la tuberculose pédiatrique.
L’expertise du DTTC repose sur trois domaines de recherche stratégiques : la tuberculose pédiatrique ; les systèmes de santé, la mise en œuvre et la recherche opérationnelle ; et la prévention du VIH par le biais d’essais randomisés communautaires, avec un accent particulier sur la recherche socio-comportementale de haute qualité.

Médecins Sans Frontières Logistique (MSF Logistique) est la branche logistique et achats du mouvement MSF, chargée de l’approvisionnement, du stockage et de l’expédition de fournitures médicales et non médicales vers les opérations de terrain de MSF et, dans certains cas, vers d’autres acteurs humanitaires.
Accélérateur d’action climatique

Fondée en 1986, MSF Logistique a été créée pour répondre aux besoins logistiques croissants des missions de MSF.
Médecins Sans Frontières
Elle gère des entrepôts, s’occupe du catalogage des produits et assure l’expédition rapide d’équipements et de médicaments, en particulier dans les situations d’urgence.
Sa chaîne d’approvisionnement s’étend aux hubs centraux, aux bases de terrain et aux centres d’achat de MSF.

Dans les situations d’urgence, MSF Logistique dispose de « kits préemballés » — des colis prêts à être déployés (par exemple, des kits chirurgicaux, des kits obstétriques) — qui peuvent être expédiés par avion dans les 24 heures.
MÉDECINS SANS FRONTIÈRES – MOYEN-ORIENT

Basée à Mérignac, en France, et également présente à Dubaï, MSF Logistique est l’un des principaux centres d’achat et d’approvisionnement de MSF.
En 2021, elle a géré plus de 14 500 références catalogue, expédié plus de 6 000 tonnes et enregistré un chiffre d’affaires d’environ 121 millions d’euros.
Accélérateur d’action climatique

MSF Logistique s’engage également dans des efforts visant à améliorer la durabilité : elle s’est engagée à réduire l’impact environnemental de ses opérations d’approvisionnement et de fourniture, notamment grâce à une « feuille de route verte » élaborée en collaboration avec Climate Action Accelerator.

L’ADERA (Association pour le développement de la recherche et de l’innovation en Nouvelle-Aquitaine) sert de passerelle entre les laboratoires de recherche publics et les entreprises privées du sud-ouest de la France. Elle soutient les entreprises et les laboratoires universitaires en leur proposant des services de conseil stratégique, d’assistance juridique et administrative, de gestion des ressources humaines, de gestion financière et de gestion de projets, ainsi qu’en organisant des congrès, des ateliers et des sessions de formation.

L’ADERA a déjà aidé plus de 200 laboratoires et 500 entreprises. Elle gère plus de 30 plateformes technologiques et « cellules » de recherche, supervise des partenariats et des contrats de R&D collaboratifs (public-privé) et investit dans des start-ups technologiques, étant actionnaire fondateur de Pertinence Invest. Elle est certifiée ISO 9001 pour ses activités de gestion depuis 2013.

De plus, l’ADERA est un organisme de formation agréé qui dispense des formations continues dans les domaines scientifiques et techniques et gère l’ensemble de la logistique événementielle, de l’inscription à la coordination sur place. Sa mission est de renforcer l’écosystème de recherche et d’innovation en Nouvelle-Aquitaine en apportant un soutien expert et des capacités opérationnelles.